La propulsion électrique spatiale se présente de plus en plus comme une alternative, voire une solution de remplacement très avantageuse pour une grande part des missions de la propulsion chimique classique des satellites ou véhicules spatiaux. Ces techniques ont déjà démontré leurs bénéfices sur des missions remarquées telles que celle de la sonde Smart1 de l'ESA qui a été propulsée de l'orbite terrestre à l'orbite lunaire par la propulseur plasmique PPS1350 de Snecma. Ces bénéfices s'énumèrent en gain de charge utile, raccroucissement des voyages interplanétaires, amélioration du contrôle et de la manoeuvrabilité des vaisseaux, fiabilité...